La
classe ouvrière qui a pris la tête de ce mouvement a
retrouvé le chemin de la lutte. Lutte
contre la fascisation dont la campagne anti-CGT est une des
expressions. Criminaliser le
communisme et le syndicalisme de classe ne sert que les intérêts
du grand capital. Les chiens
de garde médiatiques se sont déchaînés. Le
pouvoir PS a tout tenté pour réprimer le mouvement y
compris en envisageant l'interdiction des manifestations et
l'utilisation des casseurs contre les manifestants. Interdiction de
manifester que le même pouvoir avait décidé comme
banc d'essai contre les manifestations de solidarité avec le
peuple Palestinien de Gaza sous les bombes Israélienne. Le
gouvernement PS agi ainsi pour imposer cette loi loi inique
traduction en France des directives de l'UE. Ce
constat confirme la lucidité des communistes qui,
contrairement à la direction du PCF PGE, se sont prononcés
pour les quatre sorties qui sont la base politique commune des
Assises à savoir la sortie de l'euro, de l'UE, de l'OTAN et du
capitalisme. Les
communistes continuent évidemment de participer à
toutes les luttes menées depuis des mois contre la loi de
casse du code du travail. Ils
continueront à porter dans la classe ouvrière la
nécessité de mener la lutte de classe contre les
casseurs du MEDEF, du pouvoir PS et de l'UE, de dénoncer la
fascisation en cours d’une « démocratie »
bourgeoise dérivant vers l’Etat policier, de mettre en
cause les campagnes de haine anti-CGT des médias du capital et
de dénoncer les collabos de la CES et de la CFDT. Ils
continueront aussi à porter l'exigence d'un vrai parti
communiste en France dont les luttes actuelles montrent la
nécessité.
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