Les
vidéos ci-dessous sont les interventions des camarades invités
à la tribune: Introduction, CHB, ALAC, FPLP, PRCF, PCOF
Guerres
par deux fois contre l’Irak, guerre contre l’ex-Yougoslavie,
guerre contre l’Afghanistan, guerre contre Gaza, guerre contre
la Côte d’Ivoire, guerre contre la Libye, etc.
L’impérialisme occidental (USA, UE, Israël)
massacre les peuples pour maintenir sa domination séculaire
sur la planète. La crise structurelle et systémique est
un facteur qui aggrave la tendance inhérente au capitalisme à
la guerre pour assurer le contrôle des matières
premières minières et agricoles, notamment
stratégiques, aux firmes transnationales, aux monopoles et au
capital financier. Le capitalisme fait payer aux peuples dominés
sa crise de surproduction, par ses guerres coloniales à la
périphérie et par la liquidation des conquêtes
sociales et démocratiques dans les pays impérialistes
du centre eux-mêmes. Si la politique libérale, qui a
succédé à la politique de compromis
social-démocrate à la fin des années 70, a
permis de rogner progressivement les acquis salariaux directs et
indirects des travailleurs, la crise transforme le libéralisme
en brutale politique d’austérité, de
marchandisation accélérée de la santé, de
l’éducation, en chômage massif, en travail non
déclaré massif, en retraités appauvris, en
paupérisation massive, etc. La bourgeoisie impérialiste
pour assurer les taux maximums de profit foule au pied au centre les
conquêtes démocratiques conquis des travailleurs et des
démocrates et à la périphérie
l’indépendance nationale conquise de haute lutte par les
peuples colonisés. Les prétextes avancés par les
patrons et les gouvernements capitalistes pour leur prédation
sociale au centre sont « la dette » et « les
déficits » et pour leurs crimes coloniaux à
la périphérie sont « la démocratie »
et « la protection des civils ». En Grèce,
en Islande, en Espagne, au Portugal, en Italie la contradiction
capital – travail prend de plus en plus ouvertement la forme
d’un affrontement ouvert et déclaré de classe. En
Irak, en Afghanistan, en Côte d’Ivoire, en Libye, en
Palestine, les peuples résistent à la barbarie des
agressions et massacres coloniaux. En un mot après une
période historique durant laquelle l’impérialisme
a été contraint par un rapport de force imposé
par la Révolution Bolchevique, par la victoire de l’URSS
contre le projet capitaliste de domination mondiale du Nazisme, par
les Démocraties Populaires du camps socialiste et par les
révolutions nationales anticoloniales, l’humanité
redécouvre à nouveau la nature profonde du capitalisme
que K. Marx a expliqué ainsi : « Le
capital a horreur de l’absence de profit. Quand il flaire un
bénéfice raisonnable, le capital devient hardi. A 20%
il devient enthousiaste ; à 50% il est téméraire ;
à 100% il foule au pied toutes les lois humaines et à
300% il ne recule devant aucun crime… »
(Le capital). Que
faire pour développer une solidarité internationale
entre les travailleurs et les peuples ? Comment faire pour
traduire dans les faits le principe de Lénine :
« Prolétaires de tous pays et peuples opprimés,
unissez vous » !
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Intervention
de D. Ley Ngardigal (ACTUS Tchad – ALAC Comité
d'action Afrique Libye)
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